2021
PROTOCOLE COVID-19
Utilisation des salles communales
SALLES FERMÉES
2021
PROTOCOLE COVID-19
Utilisation des salles communales
SALLES FERMÉES
05 mai 2020
Bonjour à toutes et tous,
J’espère que ce message vous trouvera en pleine forme. A l’heure où la phase deux du confinement arrive, il est temps de vous communiquer les dernières organisations pour notre commune en fonction de l’évolution des informations nationales. Cette lettre sera transmise dans vos boîtes aux lettres afin d’informer la totalité de la population et non celle uniquement connectée comme mon premier courrier. A ce jour le nouveau conseil municipal n’a pas pu se réunir ; les commissions ne sont donc pas en place et les élus sortants sont toujours sollicités : je voulais donc les remercier. Les conseillers que vous avez élus en mars sont prêts à prendre le relais.
♦ Fermeture des services pour une durée indéterminée :
– Le secrétariat de mairie est fermé. La réception du public est suspendue.
L’accueil téléphonique est maintenu de 9h30 à 12h et de 14h30 à 17h : téléphone 04 74 84 84 11,
Ou mieux par mail mairie.bellegarde-poussieu@entre-bievreetrhone.fr.
En cas d’extrême urgence, Mme le Maire est joignable au 06 32 14 53 31 / grangeotchristelle@gmail.com
– L’agence postale est ouverte du mardi au samedi inclus de 8h30 à 11h00.
♦ Service urbanisme :
Le service instruction du droit des sols a repris une activité partielle (3 agents sur 5), non ouvert au public, pour traiter les dossiers arrivés depuis le début de la période de confinement.
Une nouvelle ordonnance n° 2020-427 du 15 avril 2020 dispose que les délais d’instruction suspendus reprendront à la date de fin de l’état d’urgence, alors que la première ordonnance n° 2020-290 du 23 mars 2020 donnait un mois de plus.
♦ Les bâtiments et lieux publics sont fermés :
– Tous les équipements du stade : le terrain en herbe, la salle et les salles de réunion – L’aire de jeux et le city parc
– La table d’orientation
– Le foyer rural et la salle de musique
– La bibliothèque
Si notre département passe en vert, nous pourrons envisager la réouverture des lieux ouverts (city parc …) et de la bibliothèque sous conditions.
♦ Collectes des ordures ménagères, déchetteries et points tris :
– A ce jour, le service continue de fonctionner comme d’habitude.
– Les déchetteries sont ouvertes sur RDV du lundi au jeudi au 04 74 84 61 81.
Je vous rappelle qu’il est toujours interdit de faire du feu.
Les points propres continuent d’être collectés. Merci de respecter les lieux.
♦ Eau et assainissement :
Le numéro d’urgence du service d’eau et assainissement est le 04 74 86 39 70.
♦ Manifestations publiques :
Toutes les animations associatives et manifestations sportives sur le territoire de la commune sont suspendues (annulées ou reportées) jusqu’à nouvel ordre ; les activités de pêche et de chasse sont interdites.
Merci aux personnes qui spontanément se sont portées volontaires pour aider. Nous avons un vivier de bénévoles qui se mettent à disposition de notre commune mais aussi de leurs voisins et de leurs familles. Nous avons à ce jour reçu aucune demande de la population, en cas de besoin nous pourrons y répondre.
Une campagne téléphonique organisée par le CCAS auprès de nos ainés a reçu bon accueil ; globalement tout le monde est bien entouré par la famille, les amis ou les voisins ; l’isolement commence toutefois à peser. N’hésitez pas à laisser votre n° de téléphone en mairie car nous ne les avons pas tous.
♦ Masques
La Région a commandé des masques : ils seront acheminés en mairie (courant mai).
A leur arrivée, les élus vous les distribueront gratuitement à votre domicile : un masque par habitant à partir des enfants scolarisés en 6ème. Une deuxième campagne doit avoir lieu pour les enfants de primaire distribuée par l’école.
Si vous n’êtes pas présents, nous vous laisserons un message : il vous suffira alors de prendre contact avec la personne assurant la distribution de votre quartier.
J’ai également passé une commande de masques auprès de l’Intercommunalité entre Bièvre et Rhône qui annonce une livraison en juin.
Nous recherchons toujours des couturières pour la fabrication de masques ; la commune a acheté de l’élastique. A ce jour une seule couturière a répondu à notre appel et a fabriqué une vingtaine de masques. Bravo à elle.
♦ École
La reprise est annoncée le 11 mai pour les enseignants et le 12 mai pour les enfants. Elle sera progressive et partielle. Il ne nous est pas possible d’accueillir tous les enfants en même temps : un questionnaire et une note explicative ont été envoyés à chaque parent par le Directeur de l’école.
Nous adapterons notre organisation en fonction de ces réponses dans la mesure du possible afin de garantir la sécurité de tous (enfants, enseignants, personnels communaux).
♦ Vie de la Commune
Nous ne sommes pas en mesure de vous proposer notre trimestriel, c’est pourquoi je vais vous indiquer les faits marquants de ce semestre :
Pascal Bracoud a fait valoir son droit à la retraite. Celle-ci sera effective à partir du 1er Juin : nous lui souhaitons qu’elle soit longue et heureuse.
Des élus, des bénévoles ont commencé le fleurissement de notre village ; il est bien agréable de voir un peu de couleurs.
L’entretien des fossés est en cours ; l’élagage a repris et le marquage de signalisation au sol est terminé : les entreprises et les agents reprennent doucement une activité à plein temps.
Le Restaurant de la Poste vous propose un dépôt de pain le dimanche et le lundi, ainsi que des plats à emporter sur la fin de semaine.
Le coin repas vous propose des plats à emporter du mardi au samedi ainsi qu’un dépôt de pain ces mêmes jours.
Tous les mercredis le camion pizza est présent (carrefour panneau lumineux).
Tous les samedis notre boucher est présent sur la place à partir de 10h45.
La chèvrerie (06 65 44 71 01 / 07 57 45 35 56) propose ses fromages en drive accompagnés de légumes produits par Marie Nicoud (06 83 69 92 50) et de spiruline de Moissieu-sur-Dolon (06 21 08 50 39) :
(Adopte un panier sur Facebook) commande par téléphone et drive tous les samedis.
Au jardin des Michels (06 14 69 89 16) organise une vente à la ferme et sur le marché de Sonnay les mardis.
Les serres ‘chez Rousset’ proposent plan de légumes et attendent avec impatience la possibilité de vendre leurs plans de fleurs, ce qui ne serait tarder
D’autres producteurs des communes voisines vous attendent également.
Consultez régulièrement le site de la commune bellegarde-poussieu.fr et télécharger l’application panneau pocket pour rester en contact.
Prenez soin de vous, restez chez vous et à très bientôt.
Christelle GRANGEOT
Maire.
La déclaration de ruches 2018 : du 1er septembre au 31 décembre 2018
Tout apiculteur est tenu de déclarer chaque année entre le 1er septembre et le 31 décembre les colonies d’abeilles dont il est propriétaire ou détenteur, en précisant notamment leur nombre d’une part et leurs emplacements d’autre part1. La déclaration est obligatoire dès la première colonie détenue.
Cette déclaration concourt à une meilleure connaissance du cheptel apicole français et participe à sa gestion sanitaire, notamment face à la menace que représente le parasite Aethina tumida. Elle permet également de mobiliser des aides européennes dans le cadre du Plan apicole européen permettant un soutien à la mise en œuvre d’actions en faveur de la filière apicole française.
Modalités de déclaration de ruches 2018:
La déclaration de ruches 2018 est à réaliser du 1er septembre au 31 décembre 2018 en ligne sur le site MesDémarches (http://mesdemarches.agriculture.gouv.fr). Cette nouvelle procédure simplifiée remplace Télérucher et permet l’obtention d’un récépissé de façon immédiate.
Le numéro d’apiculteur (NAPI) est demandé lors de la procédure. Les apiculteurs n’ayant pas de numéro d’apiculteur, ou l’ayant égaré, s’en verront attribuer un nouveau de façon immédiate. Cette procédure permet également aux nouveaux apiculteurs d’obtenir leur numéro d’apiculteur de façon immédiate.
La déclaration de ruches consiste à renseigner :
– le nombre total de colonies d’abeilles possédées (toutes les colonies d’abeilles sont à déclarer, qu’elles soient en ruches, ruchettes ou ruchettes de fécondation/nuclei),
– pour une meilleure efficacité des actions sanitaires, les communes accueillant ou susceptibles d’accueillir des colonies d’abeilles dans l’année qui suit la déclaration, si connues
N.B. Pour les apiculteurs ne disposant pas de l’outil informatique, il est toujours possible de réaliser une déclaration de ruches en sollicitant un accès informatique en mairie. Pour cette campagne 2018, il sera également possible d’utiliser le Cerfa papier 13995*04 à compléter, signer et à envoyer au plus tard le 31 décembre 2018 à l’adresse : DGAL-Déclaration de ruches, 251 rue de Vaugirard, 75732 Paris cedex 15. Le Cerfa 13995*04 est disponible sur le site MesDémarches (http://mesdemarches.agriculture.gouv.fr) ou en mairie. Les déclarations de ruches sur Cerfa papier 13995*04 envoyées après le 31 décembre (cachet de la poste faisant foi) ne recevront aucun traitement. Le délai d’obtention d’un récépissé de déclaration de ruches est d’environ 2 mois à compter de la réception à la DGAl. Les déclarations réalisées sur papier libre ou sur des anciennes versions de Cerfa ne sont pas recevables.
Des informations complémentaires concernant la déclaration de ruches sont disponibles sur le site MesDémarches (http://mesdemarches.agriculture.gouv.fr).
1 Article 33 de la loi 2009-967 du 3 août 2009 de programmation relative à la mise en œuvre du Grenelle de l’environnement et article 11 de l’arrêté du 11 août 1980 relatif au dispositif sanitaire de lutte contre les maladies des abeilles.
Le sou des écoles de Bellegarde Poussieu est une association de loi 1901 animée par des parents bénévoles.
L’association finance les activités liées aux projets pédagogiques du corps enseignant en organisant des manifestations.
Tout au long de l’année, le Sou organise des manifestations pour collecter des fonds.
Originaire d’Amérique du nord, les ambroisies sont des plantes envahissantes qui se développent principalement sur les sols nus. Leurs pollens peuvent entraîner des allergies sévères qui touchent 6 à 12 % de la population française.
Cette année, avec la chaleur, la floraison va arriver plus tôt aussi, pour lutter contre les ambroisies :
Arrachage de toute la plante, avec des gants = maximum d’efficacité pour réduire la quantité de pollen et de graines.
Fauchage, Broyage et Tonte régulière.
En préventif, une solution peut-être le paillis de copeaux de bois, écorces, graviers, pierre concassée… pour bloquer la végétation.
Sachez que, sur chacune de vos communes un référent Ambroisie est nommé pour communiquer, faire de la prévention et lutter contre les ambroisies.
Pour en savoir plus : www.ambroisie.info
C’est le moment de faire le nécesssaire
L’ambroisie (Ambrosia artemisiifolia L.) est une plante invasive annuelle dont le pollen émis en fin d’été est particulièrement allergisant.
Les principales manifestations cliniques sont, pour les personnes sensibles, des rhinites, conjonctivites et trachéites, qui peuvent parfois déclencher des formes d’asthme assez graves.
Environ 10% de la population est touchée durant l’été, ce qui génère pour la région Rhône-Alpes des coûts de santé estimés entre 11 et 16 millions d’euros pour l’année 2012 (Etude de l’ARS sur les coûts de l’ambroisie en région Rhône-Alpes)
L’arrêté Préfectoral n°2000-1572 du 07 mars 2000 (modifié et complété le 17 mars 2009 par l’arrêté n° 2009-02370) prescrit la destruction obligatoire de l’ambroisie dans le département de l’Isère. Ces opérations doivent avoir lieu avant le début de la pollinisation (août – septembre) .
Liens vers des sites d’informations : -* ARS Rhône Alpes Santé >> cliquez ICI -* Préfecture de l’Isère >>cliquez ICI
-* Ambroisie infos >>cliquez ICI
L’ambroisie à feuille d’armoise (Ambrosia artemisiifolia), originaire d’Amérique du Nord, se développe sur l’ensemble du territoire et la région Rhône-Alpes est la plus touchée de France. Les plants sont en pleine croissance et la pollinisation a lieu en juillet-août. Or, le pollen de cette plante annuelle est très allergisant pour l’homme. Il suffit de quelques grains de pollen par mètre cube d’air pour que les symptômes apparaissent chez les sujets sensibles. Les plus courants sont : rhinite survenant en principe en août-septembre et associant écoulement nasal, conjonctivite et symptômes respiratoires tels que trachéite, toux, et parfois urticaire ou eczéma. Dans 50% des cas, l’allergie à l’ambroisie peut entraîner l’apparition d’asthme ou provoquer son aggravation. En 2011, les allergologues Kristof Nekam et Tamas Komives ont proclamé journée internationale de l’ambroisie le premier samedi de chaque été, période des premières pousses, pour favoriser la prise de conscience des effets sanitaires de cette plante invasive. L’Observatoire régional de la santé Rhône-Alpes a mené en 2014 une nouvelle étude de la prévalence de l’allergie à l’ambroisie sur la région Rhône-Alpes, dix ans après celle menée par le CAREPS en 2004, étude qui montrait un gradient de la prévalence en fonction de l’indice pollinique d’exposition aux pollens d’ambroisie. Une enquête téléphonique sur la base d’un questionnaire a été menée à la mi-septembre 2014 par IPSOS sur un échantillon de 2 502 foyers soit 7 024 personnes. Les communes de Rhône-Alpes avaient été réparties selon trois zones d’exposition : fortement exposée, moyennement exposée et non exposée en fonction des données du Réseau de surveillance aérobiologique et à l’aide du système de modélisation développé par Air Rhône-Alpes. Les résultats indiquent que, toutes zones confondues, un quart des ménages comprend au moins un cas d’allergie, proportion significativement plus importante en zone fortement exposée (39%). Depuis 2004, le taux de ménages avec au moins un cas d’allergie a significativement augmenté. De même, la prévalence individuelle de l’allergie à l’ambroisie est de 13% en 2014 (contre 9,2% en 2004) et atteint 21% dans la zone fortement exposée. L’Observatoire régional de la santé Rhône-Alpes a mis à jour les données disponibles sur l’ambroisie.
Le Tableau de bord santé-environnement Rhône-Alpes, réalisé avec le soutien de la Région Rhône-Alpes, a pour objectif de décrire la situation régionale sur les différentes thématiques en santé-environnement, d’informer le public et les acteurs sur les liens entre la santé et les facteurs environnementaux, et d’aider les décideurs dans la définition des priorités et actions à mettre en oeuvre. La fiche “Ambroisie et santé” présente les dernières données sur les impacts sur la santé, les consommations et dépenses de médicaments anti-allergiques, la prévalence de l’allergie, le dernier bilan de la surveillance des pollens, ainsi que le bilan de l’enquête menée par l’ARS en 2014 auprès des collectivités concernant la lutte contre l’ambroisie. Lire la fiche “Ambroisie et santé” du tableau de bord santé-environnement >> CLIQUEZ ICI Tous concernés ! (Re)Connaître L’Observatoire des ambroisies a mis en ligne un documentaire vidéo “Ambroisie : des graines, du pollen, et des allergies” qui explique notamment les caractéristiques de cette plante invasive. Voir le documentaire CLIQUEZ ICI Signaler Agir contre l’expansion de la plante requiert l’implication de tous. C’est pourquoi l’Agence Régionale de Santé, la Région Rhône-Alpes, Air Rhône-Alpes et le Réseau national de surveillance aérobiologique (RNSA) ont mis en place une plateforme pour signaler la présence d’ambroisie par différents canaux : un site internet, une application mobile, un mail ou un numéro de téléphone. Ces signalements sont directement transmis à la commune ou au référent ambroisie concerné qui coordonnera ensuite les actions d’élimination de la plante. -* Sur le site web CLIQUEZ ICI -* ou sur applications mobiles CLIQUEZ ICI -* Par mail [CLIQUEZ ICI->contact@signalement-ambroisie.fr] -* Par téléphone : 0 972 376 888 Accéder à la plateforme “Signalement ambroisie” CLIQUEZ ICI Lutter Pour limiter sa prolifération : >> Eliminer Il faut éliminer l’ambroisie avant le démarrage de sa floraison, pour éviter la production de pollen et limiter la reproduction et l’expansion de la plante. Les plants d’ambroisie doivent être systématiquement détruits, le plus tôt possible. >> Détruire Suivant la taille de la surface infestée et le type de milieu concerné (surface agricole, bords de route, zone de chantier…), la destruction peut se faire par arrachage, tontes ou fauchages répétés menés sur les seules zones contaminées et par le déchaumage de parcelles de céréales envahies. En dernier recours, la lutte chimique peut être utilisée de façon raisonnée, au moyen de produits homologués et en respectant les modes d’emploi. >> Prévenir L’ambroisie colonise divers types de terrains : sols nus, bords de routes ou de cours d’eau, zones de cultures agricoles, terrains vacants, chantiers de construction… Il ne faut pas laisser les terrains nus ou en friche mais les couvrir systématiquement (couvert végétal, protection du sol avec des matériaux bloquant la végétation tels que le paillage ou des copeaux de bois…). La durée de vie dans les sols des graines d’ambroisie étant de plusieurs années, les actions de lutte doivent être menées sur le long terme et être coordonnées. Il en va de la responsabilité de chacun d’agir ! Sources : sante-environnement@ors-rhone-alpes.org ou ORS Rhône-Alpes – 9 quai Jean Moulin – 69001 LYON Sites web : http://www.ors-rhone-alpes.org http://www.ors-rhone-alpes.org/envi…
<centerBIBLIOTHEQUE
Président: Michelle FOURNIER
27 impasse du Cotonnet
Tél: 06.08.69.08.93
Horaires d’ouverture:
<retour|>
La Communauté de Communes a la compétence collecte et traitement des déchets ménagers. Elle délègue le traitement des déchets au S.I.C.T.O.M. (Syndicat mixte de Traitement des Ordures Ménagères ;www.sictom-bievre.fr ).
Le vice-Président chargé de la commission environnement est Madame Claude NICAISE.
Le S.I.C.T.O.M. gère le centre d’enfouissement technique de Penol où sont acheminés les déchets ménagers, une partie des déchets récupérés sur les déchèteries, ainsi que l’ensemble de la filière du tri sélectif. Cette dernière est composée de l’ensemble des points d’apport volontaires (47 sur le Territoire de Beaurepaire) et du centre de tri de Penol. Déchets ménagers : Depuis le 1er janvier 2011, les ordures ménagères sont collectées par l’entreprise SERNED.
Jours de collecte : Toutes les 2 semaines, les mardis semaines impaires, voir image ci-dessus.
Infos mars 2017
Des moyens de prévention et de lutte existent :
? Observer attentivement les buis jusqu’au cœur pour repérer les premières attaques
? Traiter au Bt en présence de jeunes chenilles
? Installer des pièges à phéromones pour suivre les pics de reproduction (jusqu’à 4 générations/an)
? Lutter mécaniquement tout au long de l’année
Pour plus de renseignements, contacter :Fabienne CARTERON- 04 57 08 76 00
http://www.fredonra.com/collectivit…
La pyrale du buis est une chenille extrêmement vorace qui mène à la défoliation totale et rapide des buis.
Chenille de la pyrale
Les chenilles ne sont pas urticantes mais elles dévorent le feuillage, s’attaquent à l’écorce verte et laissent derrière elles des fils de soie. De plus, elles commencent par s’attaquer à l’intérieur du buis, ce qui rend la détection parfois tardive et donc difficile à contrôler.
Les attaques ont lieu à partir du 15 avril.
Il est conseillé aux détenteurs de ces végétaux d’avoir une surveillance accrue de leurs arbustes en effectuant un contrôle visuel chaque semaine afin d’agir dès l’apparition des premiers insectes.
Traitement bio avec Bacillus thuringiensis que l’on trouve dans les agri ou jardineries (10/15€). traiter plutôt le soir, à refaire en cas de pluie.
papillon de la pyrale
Forence BANNIER, 1243 route de Bataillouse, 04.74.79.82.95
Les conditions anticycloniques propices à une forte stabilité atmosphérique, notamment sur le bassin lyonnais, contribuent à une accumulation des particules émises par le trafic routier et le chauffage individuel au bois. Le dispositif préfectoral de gestion des épisodes pollués est activé en ce mardi 1er décembre dans le bassin lyonnais Nord Isère. Mercredi 2 décembre, la dégradation de la qualité de l’air se poursuit. Le dispositif restera encore activé sur le bassin lyonnais Nord-Isère et la qualité de l’air des autres zones urbaines de la région devrait se dégrader sans toutefois atteindre les seuils d’activation du dispositif. Jeudi 3 décembre, il n’est pas prévu d’amélioration.
RECOMMANDATIONS SANITAIRES
Territoires au niveau d’information :
Populations vulnérables ou sensibles :
Limitez les déplacements sur les grands axes routiers et à leurs abords, aux périodes de pointe (7h-10h / 17h-20h) ;
Limitez les activités physiques et sportives intenses (dont les compétitions), autant en plein air qu’à l’intérieur ;
En cas de symptômes ou d’inquiétudes, prenez conseil auprès de votre pharmacien ou de votre médecin.
Population générale : il n’est pas nécessaire de modifier les activités habituelles.
Territoires au niveau d’alerte :
Populations vulnérables ou sensibles :
Evitez les déplacements sur les grands axes routiers et à leurs abords, aux périodes de pointe (7h-10h / 17h-20h) ;
Evitez les activités physiques et sportives intenses (dont les compétitions), autant en plein air qu’à l’intérieur ;
Reportez les activités qui demandent le plus d’effort ;
En cas de gêne respiratoire ou cardiaque (par exemple : essoufflement, sifflements, palpitations) :
Prenez conseil auprès de de votre pharmacien ou de votre médecin ;
Prenez conseil auprès de de votre médecin pour savoir si votre traitement médical doit être adapté le cas échéant ;
Privilégiez des sorties plus brèves et celles qui demandent le moins d’effort.
Population générale :
En cas de gêne respiratoire ou cardiaque (par exemple : essoufflement, sifflements, palpitations), prenez conseil auprès de de votre pharmacien ou de votre médecin.
Réduisez les activités physiques et sportives intenses (dont les compétitions) ;
Populations vulnérables : femmes enceintes, nourrissons et jeunes enfants, personnes de plus de 65 ans, personnes souffrant de pathologies cardiovasculaires, insuffisants cardiaques ou respiratoires, personnes asthmatiques.
Populations sensibles : personnes se reconnaissant comme sensibles lors des pics de pollution et/ou dont les symptômes apparaissent ou sont amplifiés lors des pics (par exemple : personnes diabétiques, personnes immunodéprimées, personnes souffrant d’affections neurologiques ou à risque cardiaque, respiratoire, infectieux).
Pour connaître le détail des recommandations, consultez l’arrêté ministériel du 20 août 2014
RECOMMANDATIONS COMPORTEMENTALES (visant à réduire les émissions de polluants)
IMPORTANT : Pour les territoires en niveau d’alerte, à ces recommandations viennent s’ajouter ou se substituer des actions contraignantes, dont le respect est obligatoire. Consultez la préfecture de votre département pour connaitre ces mesures.
Recommandations à l’ensemble de la population
Arrêter d’utiliser les foyers ouverts d’appoint, les appareils de chauffage au bois d’appoint de type inserts, poêles, chaudières installés avant 2000 et les groupes électrogènes
Maîtriser la température de son logement (chauffer sans excéder 19°C)
Pour les travaux d’entretien ou de nettoyage, éviter d’utiliser des outils non électriques (tondeuses, taille, haie,…) ainsi que des solvants organiques (white-spirit, peinture, vernis décoratifs, produits de retouche automobile,…)
Utiliser les modes de transport permettant de limiter le plus possible les émissions de polluants : vélo, transports en commun, co-voiturage… Pour les entreprises, adapter les horaires de travail, faciliter le télétravail
S’abstenir de circuler avec un véhicule de norme inférieure ou égale à EURO 3 et/ou dont la date d’immatriculation est antérieure au 1er janvier 2006 (hormis les véhicules d’intérêt général visés à l’article R 311-1 du code de la route)
Eviter la conduite agressive, l’usage de la climatisation ; entretenir régulièrement son véhicule
Abaisser sa vitesse de 20 km/h sur les voies pour lesquelles la vitesse maximale autorisée est supérieure ou égale à 90km/h
RAPPEL : il est interdit de brûler des déchets verts.
Recommandations aux collectivités territoriales et autorités organisatrices des transports
Maîtriser la température dans les bâtiments (chauffer sans excéder 19°C)
Pour les travaux d’entretien ou de nettoyage, éviter d’utiliser des outils non électriques (tondeuses, taille, haie,…) ainsi que des solvants organiques (white-spirit, peinture, vernis décoratifs, produits de retouche automobile,…)
Promouvoir l’humidification, l’arrosage ou toute autre technique rendant les poussières moins volatiles, notamment aux abords des voiries et lors des chantiers ; réduire l’activité des chantiers générateurs de poussières
Développer les pratiques de mobilité les moins polluantes : co-voiturage, transports en commun ; adapter les horaires de travail, faciliter le télétravail ; faciliter l’utilisation des parkings relais et transports en communs associés
Faire en sorte d’éviter la circulation des classes de véhicules les plus polluants (norme inférieure ou égale à EURO 3 et/ou dont la date d’immatriculation est antérieure au 1er janvier 2006 (hormis les véhicules d’intérêt général visés à l’article R 311-1 du code de la route)
Sensibiliser la population aux effets négatifs sur la consommation et les émissions de polluants d’une conduite agressive des véhicules et de l’usage de la climatisation, ainsi qu’à l’intérêt d’une maintenance régulière du véhicule
Rendre temporairement gratuit le stationnement résidentiel
Pratiquer les tarifs les plus attractifs pour l’usage des transports les moins polluants (vélos, transports en commun, véhicules électriques,…)
Recommandations aux agriculteurs
Reporter l’écobuage ou pratiquer le broyage
Suspendre les opérations de brûlage à l’air libre de sous-produits agricoles
Recommandations aux industriels
Mettre en œuvre des dispositions de nature à réduire les rejets atmosphériques, voire réduire l’activité
Reporter certaines opérations émettrices de particules et oxydes d’azote à la fin de l’épisode de pollution
Reporter le démarrage d’unités à la fin de l’épisode de pollution
Mettre en fonctionnement, lorsqu’ils existent, des systèmes de dépollution renforcés durant l’épisode de pollution
Réduire l’activité des chantiers générateurs de poussières et mettre en place des mesures compensatoires (arrosage)
Réduire l’utilisation des groupes électrogènes
Audrey BERTHOIS, 781 route de Bellegarde, 04.74.79.92.67
Le Comité Départemental de l’Eau (CDE) s’est réuni le 14 avril 2017 pour avis sur la situation de la ressource en eau du département.
L’hiver a été particulièrement sec dans les Alpes du Nord suivi d’un printemps précoce et très chaud. Le déficit pluviométrique est globalement de 40 % sur le département et les stocks de neige sont déjà nuls à des altitudes inférieures à 2000 mètres. Tous les bassins sont extrêmement déficitaires y compris les massifs montagneux intérieurs à l’exception du Dévoluy et de la Haute Romanche qui ont bénéficié de retours d’Est durant l’hiver.
La situation des cours d’eau est globalement en dessous des moyennes saisonnières avec une tendance à la baisse depuis plusieurs jours du fait de l’absence de précipitations et du démarrage précoce de la végétation. Les quelques récipitations annoncées pour les prochains jours ne devraient modifier que très temporairement cette situation.
Globalement les nappes ne se sont pas rechargées comme attendu au cours de l’automne et de l’hiver passés. La tendance depuis plusieurs mois est à la baisse alors que l’on devrait constater à cette saison la fin de la recharge voire une amorce de décharge. Les nappes sont à des niveaux proches de la moyenne à très bas pour la saison.
A l’issue de cette consultation, le Préfet de l’Isère place en vigilance tout le département de l’Isère pour les eaux superficielles et souterraines. Cette décision n’impose pas de restriction particulière sur les usages de l’eau mais doit inciter chacun à une gestion la plus économe possible de la ressource.
Eu égard à l’évolution de la situation pour les semaines à venir, le CDE pourra être amené à se réunir prochainement et à prendre éventuellement des mesures de restriction en matière de consommation d’eau.
Aussi, il est demandé à chacun une gestion économe de l’eau (remplissage des piscines, arrosage, bains, lavages divers…) que ce soit à partir des prélèvements dans les cours d’eau, les nappes ou à partir des réseaux de distribution d’eau publics, et cela sur l’ensemble du département. Chaque citoyen doit d’être vigilant et faire preuve de civisme pour éviter de porter atteinte à la ressource en eau, bien précieux pour tous les usagers.
Stéphanie CARRIER, 18 chemin des Pierres, 04.74.79.86.34
Céline CHAPOT, 104 impasse du Cottonnet, 04.74.15.97.07
LE FRELON ASIATIQUE, (VESPA VELUTINA)
LA LUTTE CONTRE LE FRELON ASIATIQUE
Le frelon asiatique est aujourd’hui présent sur la quasi-totalité du territoire français. Il est source de difficultés du fait de sa présence dans les zones urbanisées, mais également d’un point de vue environnemental, par la prédation qu’il exerce sur certaines espèces et notamment l’abeille domestique.
Bilan 2016 : Un nombre de nids découverts en forte hausse
En 2015 et 2016, le climat lui a été très favorable, ce qui lui a permis de coloniser de nouvelles zones géographiques et de se développer sur sa zone de présence connue (voir Carte 1) :
Carte 1 : carte représentative des signalements confirmés de frelon asiatique (nids et individus) sur les départements de l’Ardèche, la Drôme et l’Isère
Le dispositif de surveillance régionale
Un dispositif régional de surveillance et de lutte, assuré conjointement par l’Organisme à Vocation Sanitaire animal et végétal (FRGDSi et FREDONii) a été mis en place et décliné au niveau départemental.
Aucun dispositif de piégeage sélectif et efficace n’ayant encore été mis au point, la lutte consiste principalement à repérer et détruire les nids. Elle contribue ainsi à maintenir la population de frelons asiatiques à un niveau acceptable et à garantir la sécurité des populations.
A ce titre, toute personne suspectant la présence d’un frelon asiatique sur une zone est invitée à en faire le signalement en utilisant les coordonnées ci-dessous :
GDS 38 : 09 74 50 85 85 / info@gds38.asso.fr
FREDON : 04 74 86 40 68 / fdgdon38@orange.fr
Merci de votre contribution au signalement de nouveaux cas éventuels !
Dr Prémila CONSTANTIN
Vétérinaire pour la section apicole
GDS Rhône-Alpes
iFRGDS : Fédération Régionale des Groupements de Défense Sanitaire
iiFREDON : Fédération Régionale de Défense contre les Organismes NuisiblesLA LUTTE CONTRE LE FRELON ASIATIQUE
Depuis son introduction en France en 2004, la population de frelons asiatiques poursuit progressivement son installation dans le pays. Ce phénomène est source de difficultés, en particulier au niveau de l’apiculture.
En effet, il représente une menace pour différents insectes, dont il est le prédateur et notamment pour l’abeille domestique. Les ruchers sont pour lui une très bonne ressource alimentaire, surtout en fin d’été et durant l’automne, lorsque la colonie de frelon est en plein développement. Il a ainsi une action :
– directe sur les colonies : du fait de la prédation et du stress qu’il occasionne en étant présent devant la ruche),
– et indirecte : du fait de la diminution de la fréquence des sorties voire de l’arrêt de butinage qui engendrent un affaiblissement des colonies pouvant aller jusqu’à de la mortalité. Les conséquences économiques sur l’apiculture sont donc importantes.
La prédation exercée par le Frelon asiatique concerne
non seulement l’abeille domestique mais plus largement tous les insectes, ce qui met potentiellement en danger un certain nombre d’espèces dites sensibles et porte atteinte à la biodiversité de son environnement.
Dans la région Rhône-Alpes, pour la saison 2015, 76 nids ont été découverts (49 en Ardèche, 24 dans la Drôme, 2 en Isère et 1 dans la Loire). Des individus ont également été observés dans l’Ain et le Rhône, sans que les nids aient été retrouvés. Le climat rhônalpin est peu favorable à l’implantation du ravageur et sa progression sur la région est relativement lente.
La lutte contre le frelon asiatique étant d’autant plus efficace qu’elle est précoce dans sa phase d’installation, un dispositif régional de surveillance et de lutte, assuré conjointement par l’Organisme à Vocation Sanitaire animal et végétal (FRGDS* et FREDON**) a donc été mis en place et décliné au niveau départemental. Ainsi, au sein de chaque département, un réseau de référents est réparti sur le territoire. Leur rôle est :
– De confirmer la présence du frelon asiatique suite aux signalements de cas,
– De rechercher les nids en organisant des
prospections locales à l’aide de bénévoles,
– D’informer les animateurs départementaux, le maire et les apiculteurs,
– D’accompagner le maire ou le propriétaire du terrain pour la destruction, vérifiant par la même occasion sa conformité.
A ce jour, aucun dispositif de piégeage sélectif et efficace n’ayant encore été mis au point, la lutte passe essentiellement par la destruction des nids, au cours de l’été et de l’automne, avant la sortie des fondatrices (qui a lieu à la fin de l’automne). Elle contribue ainsi à maintenir la population de frelons asiatiques à un niveau acceptable et à garantir la sécurité des populations. A ce titre, il est important de souligner que la majorité des nids est sans danger pour l’homme, sauf cas particuliers de nids construits trop bas ou occasionnant une gêne notable et nécessitant une sécurisation du site et une destruction immédiates.
En 2016, une campagne de communication est mise en place, et pour la deuxième année consécutive, afin de sensibiliser le grand public sur la menace que représente l’installation du frelon asiatique dans notre région. Elle comprend :
– Une affiche, envoyée à toutes les mairies
rhônalpines et indiquant les coordonnées des intervenants à contacter afin de signaler un cas de frelon asiatique***. En cas de doute, il est possible de prendre une photo du nid ou de l’individu suspecté et de l’envoyer par mail, via les coordonnées affichées.
– Des fiches techniques, disponibles sur le site de la FREDON (www.fredonra.com) et offrant des informations complémentaires sur cet insecte.
Merci de votre contribution au signalement de nouveaux cas éventuels et soyez attentifs !
Dr Prémila CONSTANTIN Vétérinaire
pour la section apicole GDS Rhône-Alpes
* FRGDS : Fédération Régionale des Groupements de
Défense Sanitaire
** FREDON : Fédération Régionale de Défense contre les
Organismes Nuisibles
*** Ce réseau de surveillance est dédié exclusivement au frelon asiatique, espèce exotique invasive. Pour la gestion de nids de guêpes ou de frelons communs, merci de contacter un désinsectiseur professionnel.
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Evelyne MABILON, 21 rue du Bourg, 04.74.84.81.02
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